Juin 2022 – Le Cusancin en état de mort clinique

« Aussi appelée mort apparente, la mort clinique est caractérisée par l’arrêt des fonctions vitales, c’est-à-dire un arrêt cardiaque et respiratoire. A la différence de la mort cérébrale, elle est constatée sans examens médicaux mais en auscultant le corps pour vérifier notamment l’absence de pouls, de mouvements respiratoires. »

« A ce stade, le patient peut, dans certains cas, encore être réanimé. »

À la condition d’agir !

Pour rappel, le Cusancin est une rivière qui prend sa source à Cusance et se jette, après 13 kilomètres, dans le Doubs au niveau de Baume-Les-Dames. Une de ses particularités est un bassin versant de 358 km2.

Quel électrochoc faut-il encore pour le réanimer ?

Pour rappel, dans son arrêté de juillet 2021, le Préfet de région n’a pas jugé nécessaire de définir comme Zone Vulnérable aux Nitrates, l’intégralité du bassin versant hydrogéologique du Cusancin, et ce, CONTRE l’avis du comité de rivière Vallée du Doubs & territoires associés, contre l’avis de l’Office Français de la Biodiversité, contre l’avis de TOUTES les associations de protection de l’environnement et contre le bon sens même.

Notre action en cours : Recours contre l’arrêté de juillet 2021

📌 le Collectif SOS LRC et ANPER-TOS agissent en justice ! 🐟

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