Sommaire de ce premier podcast
- un bref rappel historique du collectif SOS LRC : qu’est-ce que c’est, qui c’est et quelles sont ces actions ?
- C’est quoi un bassin versant ?
- Deux dossiers (parmi de nombreux autres) traités par le collectif en ce moment : Javel et Covid-19 puis les sentinelles des rivières
Bonjour,
Merci pour ce podcast, pour une première j’ai trouvé ça génial et ce d’autant plus que je suis une jeune sentinelle et que vous avez pris en exemple la rivière que je surveille (Audeux).
J’ai partagé massivement auprès de mes amis pêcheurs mais pas que…. Le travail énorme effectué par votre collectif mérite d’être salué. Plus que jamais, nous devons nous unir pour sauver nos rivières et à ce titre je suis fier de faire partie de vos adhérents. L’objectif est ambitieux je le reconnais, mais la noblesse de l’intention est louable au regard de la folie des lobbys qui nous poussent à produire toujours d’avantage et ce au détriment de notre bien le plus précieux « la terre notre mère ».
Merci pour vos actions, merci et encore bravo d’être là à nos côtés.
Eric
Bonjour
Dans notre belle petite rivière l’AUDEUX interdire le puisage de l’eau avec des cuves a lisier a gros débit de pompage.obliger a ces personnes à s’équiper d’ un système de filtre pour éviter la montée des truitelles .Réguler les puisage surtout quand le débit et faible. Créer un emplacement d’abreuvage dans les pâtures le long du cours d’eau , interdire les bovins de se déambuler dans le ruisseau.Activer ces travaux par la com com de notre secteur , voila des années que le dossier est lancé.Pour le bien de nos truites une année de fermeture de la pêche serait bien
Bonjour Daniel,
Je te suis dans cette réflexion, il y a des choses à faire en local c’est évident. Encore faut-il réussir à regrouper les différents acteurs autour d’une même table pour en parler et le collectif SOSLRC nous permettra peut-être de réussir cet exploit pour déclencher une prise de conscience collective.
L’Audeux serpente sur 23 kms entre la source 500 m en amont du moulin de Creuse et le Sesserant ou il se jette. Sur ces 23 kms théoriques, l’eau s’arrête de circuler pour s’échapper dans des failles à hauteur d’Aïssey (hors périodes de crues) ce qui nous permet de dire que la rivière vit réellement à temps plein sur une dizaine de kms au mieux.
Passé ce constant, dans un périmètre aussi restreint, s’étalant de la source à l’Abbaye de la Grâce Dieu, il ne doit pas être très difficile de déterminer l’origine du problème sanitaire de notre rivière.
Mobilisons nous pour que cela change et trouvons le moyen de relancer les dossiers dormant.
Amitiés
Eric